Progression dans le chapitre
Grâce au nouveau projet associatif et à la refonte de nos statuts, nous allons pouvoir décliner une stratégie pour l’avenir, une stratégie profondément ancrée dans la réalité des territoires qui nous permettra d’être plus agiles et plus résilients face à l’horizon de crises qui s’ouvre devant nous.
Table-ronde sur la pandémie de Covid-19, intervention depuis Genève de Jagan Chapagain, secrétaire général de la Fédération internationale des sociétés de la Croix-Rouge et du Croissant-Rouge (FICR), remise des premiers « Trophées de la RSO », adoption du nouveau projet associatif, révision des statuts et préparation du prochain mandat, les sujets à l’ordre du jour de la 76e assemblée générale – ordinaire et extraordinaire – étaient nombreux et essentiels à la poursuite de la transformation de la Croix-Rouge française.
L’événement s’est déroulé en direct depuis le Campus Croix-Rouge française à Montrouge, devant un parterre très restreint. Crise sanitaire oblige, les participants ont suivi cette rencontre par écran interposé, dans toute la France métropolitaine et d’Outre-mer. « Nous avons, en responsabilité, fait le seul choix qui s’imposait à nous, celui d’organiser ce temps associatif majeur à distance. Je le regrette profondément tant j’ai plaisir à vous retrouver, mais nous devons faire preuve de prudence et d’exemplarité », a rappelé le professeur Jean-Jacques Eledjam.
LES TEMPS FORTS
Retour d’expérience sur la crise liée à la pandémie de Covid-19
Après l’ouverture par le Professeur Jean-Jacques Eledjam, la première partie de la matinée a été consacrée à la mobilisation de la Croix-Rouge française durant la première vague de la pandémie de Covid-19, sous la forme d’une table-ronde. « Cette crise n’est pas terminée mais j’ai souhaité que nous puissions revenir sur ce qui s’est passé ces derniers mois pour en mesurer les conséquences et en tirer les premiers enseignements », a précisé le président Eledjam. L’implication de tous et l’importance de l’intégration des risques dans la construction des projets ont été soulignées (voir focus 1) lors de ces échanges.
Vote des résolutions
En fin de matinée, la lecture de différents rapports (rapport de gestion du conseil d’administration, des commissaires aux comptes, du conseil national de surveillance) a été suivie par une intervention du comité social économique central et du rapport moral du président national. C’est alors qu’une première série de votes électroniques a eu lieu. Avec 209 votants sur les 253 membres qui constituaient cette année l’assemblée générale, le quorum (127) a été largement atteint.
Les « Trophées de la RSO »
Le début d’après-midi était consacré à la remise des premiers « Trophées de la RSO ». Pour cette première édition, 50 projets ont été proposés et 17 ont été retenus comme lauréats, avec deux « coups de cœur » émis par la gouvernance. Pour le Professeur Jean-Jacques Eledjam, « il y a tout lieu de se réjouir de ce premier bilan qui témoigne de la volonté, des capacités et du pouvoir d’agir au local, en faveur aussi bien des hommes que de l’environnement, pour répondre toujours au plus près aux défis de notre temps ».
Adoption du nouveau projet associatif
Répondre aux défis de notre temps, c’est aussi tout l’objet du nouveau projet associatif de la Croix-Rouge française, adopté par l’assemblée générale à la quasi-unanimité (90 % des votes) et qui a été transmis à chaque acteur Croix-Rouge il y a quelques semaines maintenant. Lors d’une séquence consacrée à la présentation de ce texte fondateur, Philippe Breton, administrateur national et coordinateur du groupe de travail dédié, en a rappelé la philosophie, la vocation, l’ambition, les objectifs, la « raison d’être ». Durant un an et demi, plus de 16 000 acteurs de la Croix-Rouge française ont participé à la grande consultation organisée par un groupe de travail du conseil d’administration. Ils ont ainsi défini ensemble leur vision de l’association et imaginé ce qu’elle sera demain. Le projet associatif doit permettre de guider l’action de l’association durant les dix prochaines années.
https://intranet.croix-rouge.fr/jcms/p2_10415195/fr/le-projet-associatif-de-la-croix-rouge-francaise
Révision statutaire
La révision statutaire a été présentée par le secrétaire national Philippe Da Costa. « Pour mettre en œuvre le nouveau projet associatif, la Croix-Rouge française a besoin d’un cadre d’action plus simple et plus efficace, dans lequel chacun est à sa place », a-t-il expliqué, avant d’en présenter les principales évolutions.
Prochain mandat
La dernière séquence était consacrée à la préparation du nouveau mandat, 2021 étant une année élective. Présentation du calendrier, transition, prise en main… L’objectif était d’annoncer les prochaines étapes et d’inviter les élus à réfléchir à l’avenir. Précisant qu’il ne se représenterait pas, le Professeur Jean-Jacques Eledjam a annoncé sa décision d’entamer prochainement une tournée des régions aux côtés du directeur général, Jean-Christophe Combe.
Covid-19 : bilan et enseignements de la crise
Très impactée dans son quotidien, tant sur le terrain que dans son organisation, la Croix-Rouge française ne pouvait passer sous silence la crise sanitaire ; crise totalement inédite par son ampleur, par sa durée, par le nombre d’acteurs impliqués, au travers de leurs missions comme sur un plan personnel. Une table-ronde dédiée à la crise liée à la pandémie de Covid-19 a permis de dresser un bilan des actions menées lors de la première vague de la pandémie et de tirer les leçons des réponses apportées. Un retour d’expérience (RETEX) va être réalisé, alors même que nous sommes toujours en situation de crise.
Animée par Marie-Esther Rouffet, administratrice, et Marc Zyltman, administrateur et coordinateur du dispositif mis en place à Carry-le-Rouet, cette table-ronde a réuni Romain Jacquet, trésorier national, Alain Rissetto, directeur de l’urgence et des opérations de secours, et Gwendolyn El Atreby, chargée de mission à la direction de l’urgence et des opérations de secours (DUOS). Elle a permis de faire le point sur l’engagement de la Croix-Rouge française durant la première vague de la crise et qui doit se poursuivre, pour une durée indéterminée.
Remercier les acteurs
Dans le cadre de la stratégie opérationnelle retenue, le choix a été fait de protéger les membres de l’association : une partie d’entre eux a donc été contrainte de rester à domicile, tandis que certaines activités ont été soumises à des restrictions. Les intervenants ont donc profité de cette séquence pour remercier tous les volontaires, à tous les niveaux, pour leur compréhension face à des choix difficiles, ainsi que pour leur mobilisation. En outre, avec le témoignage d’un jeune homme accueilli à Carry-le-Rouet, devenu depuis bénévole à la Croix-Rouge française, l’objectif était de montrer que l’on peut aussi faire de cette crise quelque chose de positif, en accueillant de nouvelles énergies et en préparant l’avenir.
Préparer l’avenir
La question de la préparation est en effet centrale. Dans ses établissements, dans ses structures bénévoles, la Croix-Rouge française tout entière a été concernée par la crise. Plus que jamais, nous avons constaté que le soutien aux populations était au cœur des besoins. « Cela nous confirme que tous les acteurs doivent s’impliquer dans la réponse, à tous les échelons, mais aussi dans la préparation aux catastrophes », a expliqué Alain Rissetto, avant de souligner la pertinence de la stratégie de « Préparation, de réponse et de relèvement face aux catastrophes » (PRRC), adoptée par le conseil d’administration fin 2019. « Cette dynamique de préparation du plus grand nombre s’inscrit parfaitement dans le cadre du nouveau projet associatif et de la future stratégie 2021-2025.
Faire un retour d’expérience
Parce que préparer l’avenir ne peut se faire sans regarder le passé en détail, un focus a été réalisé sur le RETEX national proposé au réseau depuis la fin du mois de septembre (voir article intranet dédié). « Le RETEX est engagé alors que la crise n’est pas terminée, mais cette crise hors norme a impacté l’association dans toutes ses composantes et, en conséquence, le champ d’études possibles est immense », a précisé Gwendolyn El Atreby, en charge de cette mission. Après le débriefing, la démarche a donc été lancée pour avoir le retour des acteurs opérationnels, dans le but d’approfondir ensuite certaines thématiques. « Nous souhaitons notamment creuser les sujets de l’implication de la gouvernance dans la gestion de crise, l’accueil des nouveaux bénévoles, les restrictions d’activités ou encore l’expertise santé au sein de la Croix-Rouge française. Nous devons être pragmatiques, puisqu’on ne sait pas combien de temps va durer la crise, mais l’objectif est de pouvoir proposer un plan d’action affiné d’ici la fin de l’année. »
Première édition des « Trophées de la RSO »
La cérémonie de remise des premiers « Trophées de la RSO » a permis de mettre en lumière des projets en lien avec la préservation de l’environnement et à fort impact social. Si la thématique est relativement nouvelle, la richesse des initiatives déjà mises en œuvre montre que la problématique compte aux yeux des acteurs de terrain. Au total, 50 projets ont été proposés, avec à la clef 17 lauréats, dont deux « coups de cœur ».
La belle mobilisation lors de cette première édition est le reflet de l’aspiration croissante de nos acteurs et, plus largement, de bon nombre de nos concitoyens, en France et dans le monde, pour un passage à l’action à la fois individuelle et collective, en faveur d’un monde plus équitable, plus solidaire, et plus résilient, tant sur le volet social qu’environnemental.
Au-delà des projets inspirants récompensés, la cérémonie était aussi l’occasion de revenir sur les engagements de la Croix-Rouge française concernant les différents enjeux de la RSO. La nécessité de bien articuler cette démarche structurante et ambitieuse avec le projet associatif qui fixe le cap de l’action de notre association a été rappelée au passage. À ce titre, l’attention portée pour optimiser l’impact social de nos activités et à en maîtriser les externalités négatives viendra naturellement enrichir la réflexion autour de l’élaboration de la stratégie 2021-2025 de notre association.
« Cette démarche globale, transverse, qui se situe à la croisée de toutes les activités et de toutes les entités de notre association, invite chacun et chacune, à son niveau, à illustrer en actes notre volonté de décupler l’impact positif de nos activités, à la fois sur le plan social, environnemental et économique », a expliqué le Professeur Jean-Jacques Eledjam en ouverture de la séquence. Si cette approche peut prendre du temps, des initiatives pertinentes et fédératrices existent déjà sur le terrain. Les premiers « Trophées de la RSO » avaient pour objet de donner de la visibilité aux initiatives exemplaires et d’inciter le plus grand nombre à marcher dans le sillage de ces « premiers pas » qui ouvrent la voie et le champ des possibles.
Créer de la valeur ensemble
La thématique proposée cette année – autour de la prévention et de la réduction des déchets – a permis aux établissements et aux structures bénévoles de la Croix-Rouge française de comprendre comment, en intégrant la dimension environnementale dans leurs activités, ils peuvent améliorer leur offre globale de service. « En effet, ces projets ont des impacts mesurables sur la réduction des déchets ; ils contribuent à améliorer les conditions d’accueil, ils donnent du sens, ils motivent les équipes et permettent de réaliser des économies, voire de générer des revenus », a détaillé Marie-Esther Rouffet, administratrice et membre du jury national, composé d’un panel représentatif de l’association (administrateurs, élus, salariés et bénévoles).
Projets lauréats
Ainsi, au moment de procéder à la sélection des projets lauréats, le jury a été attentif à leur contribution aux trois volets des engagements en matière de RSO de la Croix-Rouge française : social et sociétal ; environnemental ; économique. Deux projets « coups de cœur » ont été distingués par le président national et par la communauté Croix-Rouge : la boutique solidaire inversée, mise en place par l’unité locale de Bordeaux, ainsi que la laverie solidaire et écoresponsable, créée par l’unité locale des Ier et IIe arrondissements de Paris. Quinze autres projets enthousiasmants ont été retenus par le jury national (à découvrir dans le « Carnet des Trophées de la RSO, édition 2020 », en ligne sur intranet). « Ces projets doivent inspirer et entraîner le plus grand nombre dans leur sillage pour passer à une échelle supérieure, grâce à la mobilisation de tous », s’est félicitée Marie-Esther Rouffet.
Devenez ambassadeurs de la RSO
Les ambassadeurs de la RSO jouent un rôle décisif dans le déploiement de la stratégie de RSO sur les territoires, en faisant l’interface entre le national et le local. Interlocuteurs de proximité, sur le terrain, ils sont chargés de relayer les informations et les besoins exprimés au niveau régional, de favoriser l’échange, la mobilisation et la créativité. Ils facilitent également le déploiement et l’appropriation concrète de la démarche de RSO. Aujourd’hui constitué d’une vingtaine de volontaires, ce réseau a vocation à s’étoffer. Une campagne de mobilisation a été lancée pour que soient identifiés des ambassadeurs au niveau de chaque région et des correspondants de la RSO au niveau local.
Rendez-vous sur intranet pour en savoir plus sur l’appel à candidatures.
Nouveau projet associatif : fixer un cap pour les dix prochaines années
S’interroger sur la raison d’être de la Croix-Rouge française dans un monde qui évolue très vite était l’un des objectifs du travail mené autour du nouveau projet associatif. Lors de l’assemblée générale, l’administrateur national et coordinateur du groupe de travail, Philippe Breton, a rappelé les grandes étapes qui ont conduit au document actuel et à venir, afin que les élus puissent se prononcer en ayant toutes les cartes en main et contribuer ensuite à sa diffusion. Interview de Philippe Breton.
La société évolue, la Croix-Rouge française en fait de même, en répondant concrètement à ces deux questions : comment rassembler la diversité de nos acteurs et de nos territoires autour d’une “raison d’être” commune? Comment adapter notre réponse aux changements du monde ? Après la conception, basée sur la concertation la plus large possible avec plus de 16 000 participants, l’adoption du projet par l’assemblée générale n’est pas la fin d’un processus mais bien le début d’une deuxième étape, essentielle, celle de la mise en oeuvre. Il ne s’agit surtout pas d’un document que l’on va mettre dans un coin une fois voté. C’est une dynamique qui doit irriguer toutes les missions de la Croix-Rouge française et associer tous ses acteurs, bénévoles, comme salariés, mais aussi l’ensemble des parties prenantes, à l’interne comme à l’externe.
Transmettre et décliner
Pour faire vivre le projet associatif, deux grandes étapes vont être cruciales : la déclinaison stratégique, d’une part, la diffusion au sein de l’association, d’autre part. Le premier point est évidemment incontournable, puisque le projet associatif porte en lui un certain nombre de changements, qui doivent être traduits dans la future stratégie de la Croix-Rouge française. Je pense, par exemple, au sujet de la prévention, pour lequel le projet dessine un rééquilibrage de nos forces, complète Philippe Breton. Cela doit donc passer par une transformation concrète de notre organisation, par un nouveau fléchage des moyens. Les grands axes de la déclinaison stratégique du projet associatif seront ainsi proposés au conseil d’administration dans les prochains mois.
Le second point est tout aussi fondamental : l’appropriation des grands thèmes du projet associatif par tous les cadres, en vue de les diffuser le plus largement possible. Il faut que ce projet soit porté et expliqué aux volontaires, aux nouveaux bénévoles, aux salariés ; qu’il soit vécu ‘’de l’intérieur’’ par l’ensemble des acteurs Croix-Rouge, pas seulement affirmé.
Réaffirmer notre identité
Dans un monde qui change très vite, un monde où l’horizon de crises ne fait malheureusement aucun doute, la population a besoin de nous. Plus que jamais, nous devons réaffirmer notre action et notre identité. Pour apporter les meilleures réponses possibles aux personnes les plus fragiles, la Croix-Rouge française doit être en prise avec son époque. En posant un certain nombre de principes, en exprimant l’essentiel, en se tournant avec détermination vers l’avenir, c’est ce que permet ce nouveau projet associatif.
Propos recueillis par Anne-Lucie Acar
La Croix-Rouge française agit pour protéger et relever sans condition les personnes en situation de vulnérabilité et construire, avec elles, leur résilience.
La grande consultation en quelques chiffres
Des nouveaux statuts
En déclinaison du nouveau projet associatif, l’assemblée générale a adopté des nouveaux statuts et un nouveau règlement intérieur, visant à clarifier, simplifier, fluidifier le cadre de l’action de la Croix-Rouge française. Cette révision statutaire était indispensable. Les administrateurs ont opté pour le pragmatisme, en conservant ce qui fonctionne et en proposant des changements ciblés. Ainsi, ils ont fait le choix de ne pas modifier le fonctionnement et les missions des délégations territoriales, des antennes et des unités locales. Éclairage sur les principales évolutions.
Les changements essentiels effectués dans le cadre de cette révision statutaire sont les suivants : inscrire et décliner le nouveau projet associatif dans les statuts ; moderniser le statut de l’adhérent et susciter de nouvelles formes d’engagement (supprimer l’adhésion obligatoire pour les bénévoles afin d’accueillir davantage de bénévoles “spontanés”, diversifier les lieux d’engagement etc.) ; clarifier le rôle de la région (voir ci-dessous) ; moderniser les instances nationales (clarifier le rôle du conseil d’administration et renforcer son rôle de surveillance, accroître la représentativité des instances nationales avec notamment une règle de parité, etc.) ; et, enfin, renforcer le rôle du comité d’éthique et de l’assemblée générale. De plus, l’ensemble des textes ont été intégralement réécrits pour les rendre plus lisibles et plus simples.
Le rôle de la région
Si l’échelon local de l’action de proximité, le niveau territorial est l’échelon de la coordination de l’action et la région est un « espace de coopération entre les territoires, d’animation du projet associatif et de déclinaison des grandes stratégies nationales en lien avec les besoins spécifiques de chaque territoire », a rappelé le Professeur Jean-Jacques Eledjam, dans son discours de clôture. Interlocuteur privilégié du conseil d’administration, un président délégué régional sera désormais nommé par le conseil d’administration, sur proposition du président national. Il animera un comité régional, composé des présidents territoriaux et des cadres salariés régionaux, qui associera également l’ensemble des autres membres de la communauté Croix-Rouge française. Ce comité aura pour mission de favoriser le dialogue et le partage des bonnes pratiques entre les structures bénévoles et les établissements, de développer les activités bénévoles au sein des établissements et d’améliorer le renfort mutuel, notamment en temps de crise.
En route vers le prochain mandat
2021 sera une année élective à la Croix-Rouge française. Présentation du calendrier, transition, élections, prise en main… Lors de cette assemblée générale, les prochaines échéances ont été dévoilées.
« Le temps de la transition est venu et cela se prépare. Certains d’entre vous souhaitent rester, d’autres veulent passer le flambeau. Quoi qu’il en soit, la réussite du prochain mandat ne peut pas se faire sans vous. » C’est en ces termes que Philippe Da Costa, secrétaire national, a ouvert la séquence consacrée au nouveau mandat. Envoi d’une boîte à outils, recrutement des cadres bénévoles, accompagnement et soutien, bilan et préparation des élections, prise en main du nouveau mandat, soutien pour la nomination rapide des responsables d’activités… D’ici le printemps 2021 (lancement des élections générales), les élus bénéficieront d’un accompagnement pour que cette transition se fasse dans les meilleures conditions possibles. Des rendez-vous seront également proposés dans le cadre de la stratégie 2021-2025, avec un sujet particulier sur la formation des élus.